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lundi 20 février 2012

QUELS MEMBRES DU GOUVERNEMENT ET QUEL PREMIER MINISTRE POUR KABILA III ?

QUELS MEMBRES DU GOUVERNEMENT ET QUEL PREMIER MINISTRE POUR KABILA III ?

Depuis le jeudi 16 février, le chrono politique est déclenché après les incertitudes électorales du 28 novembre 2011. Malgré les turbulences factices observées, la mise en place des institutions poursuit son bonhomme de chemin et sans désemparer.

Après la prestation du serment constitutionnel du Président de la République, il est pour l’instant question de l’installation de l’Assemblée Nationale et la constitution du Gouvernement.
A qui reviendra le rôle de Formateur du Gouvernement d’autant plus que le Président KABILA qui jouit aussi de la majorité parlementaire s’est résolu de ne rien dire ?


Selon les investigations de nos fins limiers qui ont approché quelques sources des salons huppés de la ville, c’est Adolphe LUMANU  MULENDA BWANA SEFU qui serait discrètement désigné pour consulter les forces politiques de la majorité, en vue de la formation du futur gouvernement dit de tous les enjeux.  Est-ce réellement la perle rare que le pays recherche ? Peut être compte tenu de sa loyauté,  sa fidélité envers le Chef de l’Etat et de son expérience dans la gestion de la chose publique.
LE PROFIL POUR CE PREMIER MINISTRE 
Avec la disparition brutale et tragique  de l’intrépide Honorable  Augustin KATUMBA MWANKE, le Président KABILA, au regard de nombreux défis qui l’attend et de son ambitieux programme de « la Révolution de la Modernité » ; a l’obligation de trouver un premier ministre honnête, digne, intelligent, intègre, impartial, sans tâche, courageux, pragmatique et rigoureux. Quelqu’un qui saura concilier les impératifs de développement   à ceux  de la modernité, qui maitrise : les exigences des partenaires divers, du  maintien de la stabilité politique et  socio-économique.
Le Premier Ministre devrait être aussi un personnage ayant un sens élevé de l’Etat,  sage, un fin politique qui sait respecter le bien commun,  capable de promouvoir la philosophie de la Révolution de la Modernité, un technocrate expérimenté, habile négociateur, communicateur avéré et un rassembleur.

ET DES LIEUTENANTS  POUR CE GOUVERNEMENT
Sûrement les membres de la majorité présidentielle pourraient être attendus au gouvernement.                Ils  devraient  être sélectionnés parmi  les rares qui ne se soient pas encore souillés dans des dossiers compromettants (vols, fraude électorale, détournement du dénier public, trafic d’influence, trahison…).         
         Bien entendu, le Président KABILA  a promis de travailler  avec tout congolais qui a l’amour et la passion du Congo. 
Malheureusement, les échos fusent de partout que  les malins et les intrigants de la majorité, originaires de toutes les provinces ne se laissent  pas faire. Raison pour laquelle les dossiers  inondent au greffe de la Cour Suprême  de Justice. 
Les arrangements et combinent prendraient lieu à la place d’une justice juste et équitable digne de la « Tolérance zéro » ; tel que  c’est le cas  notamment de l’élu contesté de Kabambare  RAMAZANI SHADARI dit «  député nommé de la CENI », de fois cité à tord ou à raison, on ne sait pas, dans plusieurs dossiers sales (détournement au gouvernorat du Maniema à l’époque de Mzee, détournement des plusieurs dons présidentiels destinés  aux populations de Kabambare, haute trahison, fraude électorale …), et qui jubile  déjà  de son entrée fracassante, soit  au gouvernement ou soit au Bureau de l’Assemblée Nationale, selon les différents messages distillés au sein de l’opinion.
 Par le trafic d’influence au nom de la famille présidentielle  biologique  dont il serait membre, tel qu’il  (RAMAZANI  SHADARI ) se présente  à qui veut l’entendre;  il aurait bénéficié du soutien inconditionnel du Secrétaire Général du PPRD  qui a pu obtenir auprès du parti politique ECT en sigle dont l’honorable Balamage est Secrétaire Général ,le retrait du dossier de recours et du contentieux électoral  à la Cour Suprême de justice contre sa personne, preuve disponible à la cour Suprême de Justice, en une éventuelle échange des postes ministériels et du portefeuille de l’Etat, alors que ce parti (ECT) a étayé des arguments pertinents  de flagrance de fraude massive et de violence (présence d’une milice  de RAMAZANI SHADARI, armée d’armes blanches) qui  a empêché l’organisation des élections dans les groupements de Secteur de BANGU BANGU LULINDI à LUSANGI  ( voir le rapport de la délégation de la CENI  conformé par les échos sonores de Madame le questeur à la radio Okapi et les correspondances de l’honorable MUZYUMBA) ; avec comme conséquence la perte des plusieurs voix favorables à Joseph KABILA dans son fief biologique ( + de 20.000 voix perdues !).
A ce jour, ce dossier a été bel et bien retiré de la Cour Suprême de Justice et le candidat du parti ECT éconduit au village par les dirigeants de son parti qui attendent les dividendes promises. 
La liste est tellement longue de tous ces gourous qui par leurs mauvais comportements, cherchent à disqualifier le Président KABILA, alors que la population  déjà séduite  reste attachée à sa personne  compte tenu des œuvres concrètes  déjà réalisées (SISA BIDIMBU) telles que :
-          La réunification du pays et la fin de la guerre,
-          L’instauration de la démocratie et la valorisation de la femme,
-          La réalisation des grands travaux d’infrastructures,
-          La restauration de la justice distributive et équitable (tolérance zéro).
Au regard de tous ces faits il ya lieu de croire que le morceau s’annonce difficile à croquer. Le combat est désormais déclenché au sein même de la famille politique au pouvoir.
UN FILTRAGE NÉCESSAIRE
Le Président KABILA sera obligé de mettre un système qui permettra un filtrage nécessaire, un véritable tamis en vue d’évacuer de la course tous les mauvais disciples  qui ont suffisamment ternis son image et sa réputation.
Et comme Il est à son second mandat  et qu’Il veut réellement répondre aux attentes  du peuple congolais, le Président KABILA veillera  nous en sommes surs, pour que les brebis galeux ne reviennent plus afin qu’il respecte son engagement pris lors de la campagne électorale.

Correspondance particulière de KGG





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