Ce
rapport bien qu’il vient d’une organisation internationale manque des vérités
et de sincérités. Pourtant le partenariat Cohydro-Sonangol dans la ZIC va
booster la production pétrolière et les revenus de la RDC.
En
effet, avant que la RDC signe l’accord d’approbation de la zone d’intérêt
commun (ZIC) avec l’Angola en 2007, Nessergy Limited avait déjà conclut en 2006 un accord avec les
autorités congolaises pour exploitation du pétrole sur le bloc 14C.
Mais il
est regrettable de constater qu’une grande organisation comme Global Witness
publie un rapport avec des fausses informations
tendant à nuire cette multinationale qui, grâce à cet accord a permis au
Sonangol et Cohydro de se rapprocher en vue de permettre à la RDC de booster
son économie avec des devises.
Il y a
lieu de rappeler qu’en Avril 2013, le ministre congolais des Hydrocarbures,
Crispin Atama a confirmé que Sonangol EP, la compagnie pétrolière de l’Etat
angolais, et Cohydro de la République démocratique du Congo (RDC) vont
travailler ensemble sur le bloc 14C, également connu sous le nom ZIC ou Zone
d’Intérêt Commun.
Il a publié
un décret qui transférera les droits de la CPP de Nessergy à Sonangol et
Cohydro.
M.
Crispin Atama a déclaré à l’époque que le transfert des droits permettra à la
RDC de négocier un nouveau CPP qui bénéficiera à la RDC dans le développement
de la ZIC avec l’Angola par le biais de leurs compagnies pétrolières nationales
respectives (Sonangol et Cohydro).
St/Pourquoi Globel Witness s’acharne
contre Nessergy Limited?
Dans ce
contexte, la Sonangol a accepté de compenser Nessergy pour la vente de ses
droits dans la ZIC, lesquels droits sont destinés à être transférés à Cohydro,
à condition qu’un nouveau CPP soit signé en remplacement de l’ancien pour le
développement de ce potentiel pétrolier. Cette ronde de négociations est
toujours en pourparlers.
Valeur pour la RDC
Le
rapprochement de Sonangol et Cohydro permet à l’état congolais à bénéficier de manière
significative des droits sur la zone ZIC, à savoir une valeur actuelle nette (
VAN) oscillant entre 1,3 et 3,6 milliards de dollars américains seront générés
par les opérations futures conjointes de Sonangol et de Cohydro.
A ce
montant, il faut ajouter d’autres considérations de trésorerie (ex. bonus de
signature) qui pourraient être payées par les entreprises étrangères opérant
sur le bloc.
Enfin,
Cohydro aura sur 50% du bloc, le rôle de concessionnaire, détenant un titre
valable et bancaire. « Toute cette valorisation du potentiel pétrolier de
la RDC a été rendue possible grâce au rôle déterminant de Nessergy dans la
facilitation de la création et le développement de la ZIC .
Finaliser
le nouveau CPP est une étape importante pour augmenter et accroître la
production pétrolière de la RDC, augmentant ainsi les recettes nationales. Nous attendons avec impatience de finaliser
ce dossier avec nos partenaires », a déclaré le Ministre Crispin Atama.
La
valeur des blocs a augmenté au fil du temps en raison d’un nombre de facteurs,
notamment : la signature de l’Accord ZIC (juillet 2007) dans lequel
Nessergy a joué un rôle clé, déclenchant ainsi (potentiellement) une valeur
significative pour la RDC, et le second, la découverte du domaine Menongue qui
a eu lieu après octobre 2006. En plus de ces deux événements, le cours du
pétrole a radicalement changé à partir de 55$/baril en octobre 2006 à 110$/baril
aujourd’hui, à la date de la confirmation du transfert des droits.
St/Contexte
de la participation de Fleurette
Le Groupe Fleurette détient de substantielles
actions control antes dans Nessergy et ce dernier détient 95% des 50% des
droits que la République démocratique du Congo (RDC) avait sous la Zone
d’Intérêt Commun (ZIC) en accord avec l’Angola.
Ces droits sur l’offshore profond congolais ont été
accordés à Nessergy en octobre 2006 par un contrat (CPP) signé par les
ministères des Finances et des Hydrocarbures. Le CPP a reçu l’approbation de
l’autorité suprême de la RDC, ce qui est le seul acte qui le rend effectif et
applicable, en mars 2008. Ce CPP, modèle-type est semblable à beaucoup d’autres
approuvés en RDC et a suivi le même cursus que tous les autres signés avant
lui. Le bonus de signature est en accord avec l’exigence de base de la RDC et a
dû prendre en compte l’extension limitée du bloc et la difficulté
d’exploitation d’un bloc offshore ultra-profond.
Les 5% restants appartenaient à Cohydro – la
compagnie pétrolière de l’Etat Congolais. Nessergy, à ce jour, n’a pas de
droits sur le pétrole dans la zone offshore ZIC. Nessergy est une entité de
Fleurette. Pour plus de clarté et pour éviter tout doute, aucun fonctionnaire
ou autorités n’ont un intérêt ou des droits juridiques ou bénéficiaires dans
Nessergy.
Comme c’est la norme, Fleurette a payé 500.000
dollars américains comme prime de signature pour avoir son contrat de partage
et de production ratifié, aux cotés des deux autres compagnies pétrolières
cotées, SOCO et Energulf. Par ailleurs, selon les termes du CPP, d’autres dépenses
exigibles été versés que ce soit les impôts, les cotisations professionnelles liées
aux exigences du code du travail, les dépenses d’exploitation courante liées
aux pratiques usuelles à l’industrie du gaz et de pétrole, les coûts inhérents
aux frais de formation et surtout les coûts de maintien de validité du permis d’exploration,
sans oublier, différents bonus et/ou primes, payables à l’Etat congolais selon
l’avancement du contrat.
Cet accord fixe les bases pour l’Angola et la RDC
d’accélérer la négociation d’un nouveau CPP qui profitera à la RDC et permettra
au pays de plus que doubler sa production de pétrole dans quelques années. Cela
permettra d’améliorer le programme stratégique de la RDC à aller plus loin dans
l’exploration et l’exploitation du pétrole et intensifier ses efforts dans ce
domaine.
La ZIC est connue pour ses réserves prouvées et
peut entrer en phase d’exploitation dans les 36 mois. Selon l’accord ZIC,
toutes les réserves seront divisées par l’Angola et la RDC. Cela va créer des
revenus substantiels pour la RDC sur une période de temps relativement courte.
Cela n’aurait pas été possible sans la participation de Nessergy.
St/Quid du
Groupe Fleurette
Le Groupe Fleurette est
un groupe d’entreprises avec un investissement important dans divers secteurs,
y compris les ressources naturelles, l’agriculture et les investissements
sociaux dont l’hôpital du cinquantenaire de Kisangani, Operation Smile à
Kinshasa et au Katanga, la construction et la rénovation des écoles dont Blaise
Pascal à Lubumbashi ou la réhabilitation du zoo de Lubumbashi, etc.
Le Groupe Fleurette a
une expérience éprouvée en termes de collaboration gagnant-gagnant avec
d’autres entreprises en RDC, tant dans le secteur privé que dans le secteur
public, dont la Gécamines et bien d’autres. Fleurette se spécialise dans des
projets industriels d’envergure en environnement à haut risque. Il est
planificateur actif à grande échelle dans chaque entreprise, offrant toute
l’assistance et l’expertise imaginable, de la gestion de génie-conseil, à la
planification financière, assurant l’achèvement en temps et dans les budgets
approuvés de chaque projet. En janvier 2014, Fleurette rejoint l’ITIE
(Initiative pour la transparence des industries extractives), une initiative
mondiale visant à améliorer la gouvernance dans les pays riches en ressources naturelle
à travers la vérification et la publication complète des paiements de ses
sociétés et les recettes publiques provenant des industries pétrolières,
gazières et minières.
Un employeur, Un Investisseur et Un Contribuable de
référence
Comme l’une des plus
grandes entreprises privées de la RDC, le Groupe Fleurette a investi plus de
1,5 milliards de dollars dans l’acquisition et le développement de
l’exploitation minière et d’autres actifs en RDC. Grâce à son engagement
continu à l’économie du pays, Fleurette a contribué à apporter des milliards de
dollars en investissements connexes en RDC, créant ainsi plus de 20.000 emplois
directs, faisant de la société un des principaux employeurs du pays.
En outre, les partenariats du Groupe Fleurette
et des entreprises conjointes sont parmi les principaux contribuables de la
RDC, contribuant des revenus importants pour l’Etat en 2012. Ces paiements
d’impôts aident à soutenir les services publics de base, tels que les écoles,
les routes et les centres de santé.
Un engagement à long terme en RDC
Dan Gertler, Conseiller
Principal du Groupe Fleurette, a commencé à investir dans le secteur diamantière
de la RDC en 1997, à une époque ou peu d’autres sociétés internationales étaient
prêtes à risquer de faire des affaires dans le pays déchiré par la guerre. Au
cours de la dernière décennie, le Groupe Fleurette s’est élargi, du minerai de
fer, de cuivre et de cobalt, à l’agriculture, au pétrole et au gaz. Citoyen et
résident d’Israël et de la RDC, Dan Gertler est engagé dans le développement
des ressources naturelles du pays, tout en investissant dans les populations
congolaises et leurs communautés comme le prouve la kyrielle des
investissements sociaux dans l’ensemble du pays depuis plus d’une dizaine
d’années.
L’organisme de bienfaisance le plus grand en RDC
Grâce à la Fondation
Famille Gertler et ses propres projets d’infrastructure et de bien-être social,
le Groupe Fleurette a versé des millions de dollars à l’amélioration du citoyen
la RDC et de son peuple. Ces projets de bienfaisance se focalisent sur les
domaines essentiels que sont la santé, l’éducation, les infrastructures, l’aide
d’urgence, la sécurité alimentaire et le développement culturel.
Godé Kalonji Muk
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