
Pour se souvenir et refléchir sur les actions a menées en rapport avec cette journée, à Kinshasa le ministère de la justice et droits humains en collaboration avec le bureau conjoint des Nations Unies aux droits de l'homme ont organisé une manifestation officielle .
Au cours de cette manifestation au quelle ont pris part les représentants du système des Nations Unies, les chefs de mission diplomatique, les activistes des droits de l'homme, ainsi que les membres du gouvernements , plusieurs messages ont été émis par les intervenants en termes des plaidoiries pour éradiquer les actes de torture , qui constitue une tentative brutale de destruction du sens de la dignité et de la valeur humaine d'une personne.
Le secrétaire exécutif du réseau national des ONG des droits de l'homme ( RENADHOC ) a dans son mot de circonstance relevé quelques actes des tortures dont sont victimes les activistes des droits de l'homme en RDC, notamment celui du secrétaire exécutif de la voies de sans voies Floribert Chebeya avant son assassinat.
A ce propos, le secrétaire exécutif du RENADHOC a formulé quelques recommandations à l'endroit du gouvernement , entre autre inviter ce dernier a adopté une politique d'appui institutionnelle aux neuf centres de réhabilitation des victimes de la torture que compte actuellement la RDC..
Le représentant du haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme a dans sont message reconnu qu'en dépit de la proscription totale de la torture et d'autres formes de traitement cruels, inhumains et dégradants en droit international, des exemples horribles de cette pratique continus à s'enregistrer chaque jour dans le monde de manière générale et particulièrement en .
Quelques recommandations sur le plan international ont été formulées dans le messages du secrétaire générale Nations Unies lus par la représentante adjointe de la MONUSCO, notamment la prise en compte par les État des mesures législatives, administratives, et judiciaires pour empêcher les actes de tortures sur tout territoire sous leur juridiction.
Elle a par ailler lancé un appel à tout les membres de la communauté internationale de soutenir le Fonds des Nations Unies aux victimes de la torture , en vue d'assisté les individus et les organisations à travers le monde qui militent au tour de cette question.
Le ministre de la justice et droits humains de la RDC Luzolo Bambi a saisi l’occasion pour montré à l'opinion les démarches qu'entreprennent la RDC pour contribuer à la lutte contre les actes de torture
Le secrétaire exécutif du réseau national des ONG des droits de l'homme ( RENADHOC ) a dans son mot de circonstance relevé quelques actes des tortures dont sont victimes les activistes des droits de l'homme en RDC, notamment celui du secrétaire exécutif de la voies de sans voies Floribert Chebeya avant son assassinat.
A ce propos, le secrétaire exécutif du RENADHOC a formulé quelques recommandations à l'endroit du gouvernement , entre autre inviter ce dernier a adopté une politique d'appui institutionnelle aux neuf centres de réhabilitation des victimes de la torture que compte actuellement la RDC..
Le représentant du haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme a dans sont message reconnu qu'en dépit de la proscription totale de la torture et d'autres formes de traitement cruels, inhumains et dégradants en droit international, des exemples horribles de cette pratique continus à s'enregistrer chaque jour dans le monde de manière générale et particulièrement en .
Quelques recommandations sur le plan international ont été formulées dans le messages du secrétaire générale Nations Unies lus par la représentante adjointe de la MONUSCO, notamment la prise en compte par les État des mesures législatives, administratives, et judiciaires pour empêcher les actes de tortures sur tout territoire sous leur juridiction.
Elle a par ailler lancé un appel à tout les membres de la communauté internationale de soutenir le Fonds des Nations Unies aux victimes de la torture , en vue d'assisté les individus et les organisations à travers le monde qui militent au tour de cette question.
Le ministre de la justice et droits humains de la RDC Luzolo Bambi a saisi l’occasion pour montré à l'opinion les démarches qu'entreprennent la RDC pour contribuer à la lutte contre les actes de torture
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