Partant des discussions politiques actuellement tournées autour des élections prévues pour le mois de novembre 2011, le constat est qu'il n'existe pas de démarche stratégique dans l'agir communicationnel des acteurs politiques congolais (opposition et pouvoir). Chaque camp recourt, comme l'affirme l'Ecole de Palo Alto, à la communication de manière intuitive et ce, parce qu'on ne peux vivre sans communiquer.
Toutefois, les communications ainsi échangées ne reposent pas sur une stratégie de communication, alors qu'aucune stratégie marketing digne de ce nom n'a
été révélée.
été révélée.
On assiste plutôt simplement à la diffusion, dans les deux camps, des discours politiques. Au sein de la majorité présidentielle, le leader et porte parole sont connus, des messages souvent fréquents mais n'éclairent pas toujours les enjeux de la bonne gouvernance, et généralement orientés à la défensive.On recourt aux médias audiovisuels, aux supports hors médias, à la presse écrite et timidement à l'Internet.
Par contre à l'opposition, pas de porte parole connu, une pluralité d'acteurs qui communiquent de manière solitaire et forcement décousue ; abondance des messages de dénonciation, intervention non planifiée sur les questions d'actualité, de gouvernance et non sur les projets des société ; veille médiatique permanente motivée par le rejet systématique de l'action gouvernementale ; recours à l'intox. Également, on recourt systématiquement à l'audiovisuel pour des raisons évidentes de moyens, d'image et de notoriété. L'utilisation d'une communication solitaire et désordonnée faute d'un leadership unifié et incontesté.
Le discours et non la stratégie de communication de la majorité qui n'a pas souvent de relais en nombre suffisant sur les différents plateaux de télévision, n'est pas lui non plus cohérent. Aux discours mystificateurs de l'opposition correspond, dans le chef de la majorité, un discours d'arrogance, de suffisance et qui ne favorise pas une interaction constructive entre le pouvoir et l'opposition, en RDC.
" On peux tout décentraliser y compris la gestion, mais on ne peut pas décentraliser la communication".
Ainsi pour pallié à ce problème de déconcertante dans le chef des partis politiques , il faut que l'ensemble des décideurs et ténors du parti parlent d'une même voix, et que les différents intervenants s'accordent sur la nature des informations à transmettre dans les zones ciblées de manière ordonnée.
Raison pour laquelle nous vous proposons de nous contacté pour vous aider à réalisé une bonne pratique de l'outil communicationnel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire